Comme une envie de tout vendre et partir

Aller vivre à l’étranger ou simplement voyager beaucoup ? Être un Digital Nomad et autres joyeusetés. Où sont les limites et surtout, quelles décisions prendre dans quel ordre.

Vivre à Los Angeles

Un des gros sujets des derniers mois est d’aller passer un peu de temps à Los Angeles. Je ne vous ai toujours pas partagé notre séjour sur la chaîne Explore, mais pour autant, ces 10 jours à retourner la cité des anges ont été fabuleux.

Suivre les trace de son père spirituel…

Aussi, quand je pense à aller vivre quelque part, je pense à Los Angeles, durant un mois ou deux. La seule contrainte à court terme est le marathon de Toulouse en novembre, avec le marathon de Los Angeles en mars. Est-ce que je pars pour le mois d’octobre parce que c’est maintenant que ça me ferait du bien ou est-ce que je mutualise cette aventure avec le mois de mars et le marathon sur place ? Suspense !

Vendre ou stocker l’excédent

Dans cette optique de bouger beaucoup, il semble logique de se débarrasser de ce qui encombre, que ce soit du matériel ou la maison, tout simplement. C’est une des grosses questions du moment : est-ce que je vends tout ou presque, ou est-ce que je mets tout dans un box ou presque ?

Quoi qu’il en soit, je pense qu’il faut que je quitte la maison dans laquelle je suis aujourd’hui, la ville de Colomiers étant une poubelle à ciel ouvert. Je passe mon temps à râler à chaque fois que je reviens à la maison, alors que je suis détendu et heureux ailleurs.

Parenthèse : tout le contenu que je vous partage ici est la conclusion des discussions qu’on a déjà eu sur le Discord sur ces sujets. Pour 5 EUR par mois, accéder aux coulisses, au contenu Premium tout en soutenant mes créations !

Se pose par exemple la question de vendre la TV et le Home Cinema, ou de stocker. Dans la mesure où j’ai toujours admiré les personnes qui n’ont pas de TV, ce serait un bon test (même si j’adore les belles images, le son qui tape fort et autres joyeusetés).

Il y a aussi la partie fringues. Je vous ai partagé ma folie avec la marque Patagonia qui est allée trop loin et aujourd’hui je me rends compte que je n’ai que des fringues sportswear et rien de bien habillé, ou qui peut faire “tout”. Je teste une autre marque dont je vous parlerai plus tard, avec des vêtements techniques mais habillés, qui peuvent se faire discret dans un sac de baroudeur tout en permettant d’être classe en déplacement.

Parce que si je bouge, j’ai besoin de peu de textile, mais très technique et qui puisse tout faire.

Industrialiser ou professionnaliser

Mais le point sur lequel je dois le plus travailler, c’est l’industrialisation de mon contenu. Il faut que je m’entoure des bonnes personnes et que je commence à travailler intelligemment. Ça veut dire prévoir mon contenu à l’avance, comprendre ce que vous aimez et attendez de moi pour vous satisfaire et qu’on soit de plus en plus nombreux sur toutes les chaînes et de plus en plus satisfaits (vous, comme moi).

Il y a une connotation importante dans l’industrialisation versus la professionnalisation : je ne veux pas proposer du contenu lisse et être un énième créateur de contenu qui vous présente le dernier iPhone. Je veux garder ma patte, ma manière de présenter et d’une certaine manière, ma grande gueule. Même si ça veut dire que la croissance ne sera pas optimale. Ça vaut le coup de le tenter.

Voilà, je suis impatient de lire vos réactions sur tout ça et qu’on échangé tous ensemble dans les commentaires.